Le blog de 2A et 2B - Lycée de l'Elorn

Les pensées de la jeune fille s'évadent à la vue de l'horizon bleu,

Comme des serpents s'échappant

D'un gigantesque miroir vivant.  

Sous ses pieds l'écume crépite au son du vent,
Comme un feu sans flamme
Impuissant sous l'emprise du courant.

Bleu marine, la marée aux reflets multicolores,
Fait jaillir la mélancolie des mémoires
De cette demoiselle au minois sombre comme l'or.

 Sous l'immense miroir,
Les algues dansent au son du courant,

Et emportent avec elles,
Une multitude de coquillages sauvages
Simulant un véritable mirage...



Enora 2nd B

La  douceur du sable est plus grande,
que celle du fondant au chocolat de ma grand-mère.
La chaleur du soleil est plus forte,
que n'importe quelle lumière.
Tout le monde est au rendez vous.
Petits et grands courent au bord de la mer en criant joyeusement.

Le vent chaud revient de son hibernation.
Pieds nus sur le sable brûlant,
enfants et parents s'amusent et se baignent gaiement.
Le soleil au rendez-vous est resplendissant.
La mer calme est comme plongée,
dans un sommeil profond.

Le soleil d'été s'est envolé.
Le vent frais comme un avion en plein vol,
s'écrase sur les promeneurs.
La plage si vivante d'habitude est devenue presque déserte.
Le vent est à nouveau présent et fais fuir tous ces gens.

Les rafales de vent se réveillent,
secouent quelques grains de sables abondamment.
La mer est agitée,
les vagues s'écrasent violemment,
sur ce sable fondant.



Marine 2B

  Me transporte entre ses mille reflets.

L’estran entre terre et mer

  M’émerveille

Et me rappelle la fraîcheur

De mon enfance.

Entendre le claquement des vagues,

Contre les immenses falaises

  Me fascine et me rend nostalgique.

Toutes les journées d’hiver

Passées devant l’océan déchaîné,

Me rendent dépendante de la nature.

L’estran m’est si cher

Que jamais je ne le quitterai.

La mer est sans limite
Elle est une énigme magnifique
Le reflet du soleil à la surface m'éblouit.
Une joie de vivre m'envahit.

Sur le sable blanc et brûlant
Je savoure l'odeur du sel marin
Je m'allonge doucement
Et je contemple les mouettes au loin.

Les vagues chancellent et ondulent doucement
Elles font naître cette écume qu'on admire en rêvant,
et argentent au loin la mer.

Des vagues d'insolence,
Des frissons intenses,
Un plaisir immense.

Sur la plage au sable fin
La mer remonte au loin
Les bateaux retrouvent leur entrain
Pour lever l'ancre et partir Demain !

                                                                                                                         Floriane 2B